En ce jour où, dans le monde entier, nous élevons la voix pour tant de femmes qui n’ont pas de voix, qui sont bafouées dans leur dignité, dans leurs droits fondamentaux tels que le manque d’accès à l’éducation, aux soins médicaux, aux ressources naturelles, à une vie avec des droits égaux en matière de travail et d’emploi, à un leadership social en fonction de leurs capacités, à la liberté d’être une personne….
En ce jour où elles doivent faire face à la violence et au harcèlement sexuels, à la violence physique, et où elles sont même victimes de la traite des êtres humains…
En tant que congrégation religieuse née pour la défense des femmes, elle a donné une réponse aux jeunes filles qui voulaient suivre Jésus et a donné une éducation à tant de jeunes filles qui n’avaient pas accès à l’éducation.
Aujourd’hui, en mouvement avec d’autres femmes, poussées par le dernier chapitre du document Born Again qui nous invite à
« S’engager dans les mouvements de femmes qui participent à la création de relations saines, en travaillant activement à l’éradication de l’inégalité, de l’abus ou de l’indifférence dans la société et dans l’Église ». 2.4. p.18
« Nous avons le sentiment de faire partie d’une grande famille dans laquelle les femmes se sont fermement engagées à vivre.
Et aujourd’hui, comme Joaquina, nous voulons continuer à participer avec les femmes aux processus de promotion et de libération. NdN 20
Depuis la jungle péruvienne, Doña Alicia del Águila, une femme pleine de fougue, fait entendre la voix de sa propre réalité. Écoutons cette interview.
Sr. Isabel Miguélez, CCV
